HABITER LES OASIS 1/3 : HAUT ATLAS, MAROC
Une oasis (du grec ancien) est une zone de végétation isolée dans un milieu désertique ou semi-déser
tique à proximité d'une source d'eau ou lorsqu'une nappe phréatique est suffisamment proche de la surface du sol ; parfois, elle est installée sur le lit de rivières venant se perdre dans le désert.
Le Haut Atlas marocain, région semi-désertique, est la porte d'entrée des oasis sahariennes (Zagora, Merzouga...).
Une oasis est ainsi d’un espace irrigué donc parfaitement artificiel. Cela implique une présence humaine. C'est donc une zone cultivée (souvent une palmeraie).
Une palmeraie d’oasis est un espace fortement anthropisé et irrigué qui supporte une agriculture intensive et en polyculture : palmiers dattiers qui maintiennent la fraîcheur, arbres fruitiers (oranger, bananier, grenadier, pommier, etc.), plantes basses (maraîchage, fourrage, céréales) à l'ombre.    

HABITER LES OASIS 2/3 : HAUT ATLAS, MAROC
Une oasis (du grec ancien) est une zone de végétation isolée dans un milieu désertique ou semi-déser
tique à proximité d'une source d'eau ou lorsqu'une nappe phréatique est suffisamment proche de la surface du sol ; parfois, elle est installée sur le lit de rivières venant se perdre dans le désert.
Le Haut Atlas marocain, région semi-désertique, est la porte d'entrée des oasis sahariennes (Zagora, Merzouga...).
Une oasis est ainsi d’un espace irrigué donc parfaitement artificiel. Cela implique une présence humaine. C'est donc une zone cultivée (souvent une palmeraie).
Une palmeraie d’oasis est un espace fortement anthropisé et irrigué qui supporte une agriculture intensive et en polyculture : palmiers dattiers qui maintiennent la fraîcheur, arbres fruitiers (oranger, bananier, grenadier, pommier, etc.), plantes basses (maraîchage, fourrage, céréales) à l'ombre.        

HABITER LES OASIS 3/3 : HAUT ATLAS, MAROC
Une oasis (du grec ancien) est une zone de végétation isolée dans un milieu désertique ou semi-déser
tique à proximité d'une source d'eau ou lorsqu'une nappe phréatique est suffisamment proche de la surface du sol ; parfois, elle est installée sur le lit de rivières venant se perdre dans le désert.
Le Haut Atlas marocain, région semi-désertique, est la porte d'entrée des oasis sahariennes (Zagora, Merzouga...).
Une oasis est ainsi d’un espace irrigué donc parfaitement artificiel. Cela implique une présence humaine. C'est donc une zone cultivée (souvent une palmeraie).
Une palmeraie d’oasis est un espace fortement anthropisé et irrigué qui supporte une agriculture intensive et en polyculture : palmiers dattiers qui maintiennent la fraîcheur, arbres fruitiers (oranger, bananier, grenadier, pommier, etc.), plantes basses (maraîchage, fourrage, céréales) à l'ombre.      

HABITER LES ÎLES 1/6 : ARCHIPEL DES SAN BLAS, PANAMA
Les îles San Blas (ou Kuna Yala) constituen
t un archipel de 365 îlots coralliens, dont seuls 60 sont habités, situé sur près de 300 kilomètres au large de la côte caraïbe où vivent les indiens Kunas. Ils chassent, pêchent ou vivent d'un peu de tourisme et de la vente/le troc de noix de coco avec les cargots venus de la Colombie voisine.
Leur territoire forme, avec la bande côtière, la "comarca Kuna Yala", territoire disposant d'une forte autonomie depuis la guerre d'indépendance menée par ces indiens contre le Panama dans les années 1920, même s'ils parlent pour la plupart espagnol. Ainsi, il est interdit aux étrangers d'investir dans les îlots.
Environ 50 000 personnes habitent l'archipel. Les indiens Kunas ont peu à peu quitté la terre ferme du Panama durant l'invasion espagnole, en particulier lors des recherches d'or le long de la rivière Atrato, où vivent encore quelques tribus de l'etnie Kuna, repliées dans la montagne.

     "Avec ses 365 îles, l’archipel des San Blas est un joyau brut. Pas d’eau ni d’électricité, si ce n’est un panneau solaire qui ne sert qu’à éclairer quelques heures une table où se rassemblent des voyageurs s’échangeant leurs impressions ou une boutique où l’on vend bières, snacks… La Colombie est proche, la police - par le fait de la législation d’une région autonome - absente, les cargos transportent à coup sûr des marchandises douteuses..."
Voir http://tanguy.teyssier.over-blog.com/article-34328277.html

HABITER LES ÎLES 2/6 : ARCHIPEL DES SAN BLAS, PANAMA
Les îles San Blas (ou Kuna Yala) constituen
t un archipel de 365 îlots coralliens, dont seuls 60 sont habités, situé sur près de 300 kilomètres au large de la côte caraïbe où vivent les indiens Kunas. Ils chassent, pêchent ou vivent d'un peu de tourisme et de la vente/le troc de noix de coco avec les cargots venus de la Colombie voisine.
Leur territoire forme, avec la bande côtière, la "comarca Kuna Yala", territoire disposant d'une forte autonomie depuis la guerre d'indépendance menée par ces indiens contre le Panama dans les années 1920, même s'ils parlent pour la plupart espagnol. Ainsi, il est interdit aux étrangers d'investir dans les îlots.
Environ 50 000 personnes habitent l'archipel. Les indiens Kunas ont peu à peu quitté la terre ferme du Panama durant l'invasion espagnole, en particulier lors des recherches d'or le long de la rivière Atrato, où vivent encore quelques tribus de l'etnie Kuna, repliées dans la montagne.

     "Avec ses 365 îles, l’archipel des San Blas est un joyau brut. Pas d’eau ni d’électricité, si ce n’est un panneau solaire qui ne sert qu’à éclairer quelques heures une table où se rassemblent des voyageurs s’échangeant leurs impressions ou une boutique où l’on vend bières, snacks… La Colombie est proche, la police - par le fait de la législation d’une région autonome - absente, les cargos transportent à coup sûr des marchandises douteuses..."
Voir http://tanguy.teyssier.over-blog.com/article-34328277.html

         
   
HABITER LES ÎLES 3/6 : ARCHIPEL DES SAN BLAS, PANAMA
Les îles San Blas (ou Kuna Yala) constituen
t un archipel de 365 îlots coralliens, dont seuls 60 sont habités, situé sur près de 300 kilomètres au large de la côte caraïbe où vivent les indiens Kunas. Ils chassent, pêchent ou vivent d'un peu de tourisme et de la vente/le troc de noix de coco avec les cargots venus de la Colombie voisine.
Leur territoire forme, avec la bande côtière, la "comarca Kuna Yala", territoire disposant d'une forte autonomie depuis la guerre d'indépendance menée par ces indiens contre le Panama dans les années 1920, même s'ils parlent pour la plupart espagnol. Ainsi, il est interdit aux étrangers d'investir dans les îlots.
Environ 50 000 personnes habitent l'archipel. Les indiens Kunas ont peu à peu quitté la terre ferme du Panama durant l'invasion espagnole, en particulier lors des recherches d'or le long de la rivière Atrato, où vivent encore quelques tribus de l'etnie Kuna, repliées dans la montagne.              

     "Avec ses 365 îles, l’archipel des San Blas est un joyau brut. Pas d’eau ni d’électricité, si ce n’est un panneau solaire qui ne sert qu’à éclairer quelques heures une table où se rassemblent des voyageurs s’échangeant leurs impressions ou une boutique où l’on vend bières, snacks… La Colombie est proche, la police - par le fait de la législation d’une région autonome - absente, les cargos transportent à coup sûr des marchandises douteuses..."
Voir http://tanguy.teyssier.over-blog.com/article-34328277.html

HABITER LES ÎLES 4/6 : KOH CHANG, THAÏLANDE
Actuelleme
nt, 60% de la population mondiale vit à moins de 60 km des côtes et l'urbanisation littorale risque de s'amplifier, puisqu'on attend 75% de la population mondiale sur les côtes en 2025 (Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l'Homme). Selon les Nations unies, 80 % de la population mondiale cohabitera sur une bande littorale de 100 kilomètres d'ici 2010.
L'île Chang est la troisième plus grande île de la Thaïlande, située dans le Golfe de Thaïlande, sur la côte est. L’île présente une longueur de 30 kilomètres et une largeur de 14 kilomètres. L’intérieur de l’île est montagneux et couvert de forêt tropicale. Ainsi, les villages (Laem Bang Bao...) et les complexes hôteliers sont situés sur ou près des plages.
La majorité des quelque 5000 habitants de l'île vivent encore de la production de noix de coco et de caoutchouc, de la pêche en mer et de l'élevage de crevettes. Le tourisme (plongée, trekking) est une source de revenus importante pour l'île.

     "L'heure de décompresser à Koh Chang, une île thaï. Du monde, plein de jolis bars où le hamac est roi, de tatoueurs et la fiesta chaque soir à l'Ouest, le vide, des villages de pêcheurs, des plages incroyables à l'Est. Son coeur est vert de collines impénétrables..."
La suite sur http://tanguy.teyssier.over-blog.com/article-28731100.html  

                   
                
HABITER LES ÎLES 5/6 : KOH CHANG, THAÏLANDE
La majorité des quelque 5000 habitants de Koh Chang vivent de la production de noix de coco et caoutchouc
, de la pêche en mer et de l'élevage de crevettes, notamment dans ce village du sud de l'île ((Laem Bang Bao...).
Actuellement, 60% de la population mondiale vit à moins de 60 km des côtes et l'urbanisation littorale risque de s'amplifier, puisqu'on attend 75% de la population mondiale sur les côtes en 2025 (Fondation Nicolas Hulot). Selon les Nations unies, 80 % de la population mondiale cohabitera sur une bande littorale de 100 kilomètres d'ici 2010.
L'île Chang est la 3ème plus grande île de la Thaïlande, située dans le Golfe de Thaïlande, sur la côte est. L’île est longue de 30 kilomètres et large de 14 kilomètres. L’intérieur de l’île est montagneux et couvert de forêt tropicale. Ainsi, les villages les complexes hôteliers sont situés sur ou près des plages.
Le tourisme (plongée, trekking) est une source de revenus importante pour l'île depuis 1987.              

    "L'heure de décompresser à Koh Chang, une île thaï. Du monde, plein de jolis bars où le hamac est roi, de tatoueurs et la fiesta chaque soir à l'Ouest, le vide, des villages de pêcheurs, des plages incroyables à l'Est. Son coeur est vert de collines impénétrables..."
La suite sur http://tanguy.teyssier.over-blog.com/article-28731100.htm

                 
                
HABITER LES ÎLES 6/6 : KOH CHANG, THAÏLANDE
La majorité des quelque 5000 habitants de Koh Chang vivent de la production de noix de coco et caoutchouc
, de la pêche en mer et de l'élevage de crevettes, notamment dans ce village du sud de l'île ((Laem Bang Bao...).
Actuellement, 60% de la population mondiale vit à moins de 60 km des côtes et l'urbanisation littorale risque de s'amplifier, puisqu'on attend 75% de la population mondiale sur les côtes en 2025 (Fondation Nicolas Hulot). Selon les Nations unies, 80 % de la population mondiale cohabitera sur une bande littorale de 100 kilomètres d'ici 2010.
L'île Chang est la 3ème plus grande île de la Thaïlande, située dans le Golfe de Thaïlande, sur la côte est. L’île est longue de 30 kilomètres et large de 14 kilomètres. L’intérieur de l’île est montagneux et couvert de forêt tropicale. Ainsi, les villages les complexes hôteliers sont situés sur ou près des plages.
Le tourisme (plongée, trekking) est une source de revenus importante pour l'île depuis 1987.              

      "L'heure de décompresser à Koh Chang, une île thaï. Du monde, plein de jolis bars où le hamac est roi, de tatoueurs et la fiesta chaque soir à l'Ouest, le vide, des villages de pêcheurs, des plages incroyables à l'Est. Son coeur est vert de collines impénétrables..."
La suite sur http://tanguy.teyssier.over-blog.com/article-28731100.html

LE PEUPLEMENT DES CAMPAGNES EN ASIE ORIENTALE 1/3 : CAMPAGNE DU VIETNAM
Nous sommes dans la région de Dalat, les montagnes du sud et du centre du pays. Le Viêtnam occupe une superficie de 341 690 km2 et compte environ 85 millions d’habitant
s, soit une densité de 253,5 hab./km2.
Le Sud, très fertile, cultive surtout le riz mais aussi le café. Produit de base essentiel, le riz est également un produit d’exportation. Le café est également consommé en grande quantité. Pour ces produits, la récolte se fait manuellement ; le besoin de main d'oeuvre est donc important. Les Viêtnamiens sont de gros consommateurs de café. Il y a différentes façons de le boire dans le pays : le ca phe nong (café noir chaud ou froid), le ca phe noi da (café au lait), le ca phe trung (aux oeufs blancs battus en neige, très sucré) ; dans le sud, les Viêtnamiens y mettent beaucoup de glaçons.

     "Je découvre les jolis alentours de Dalat en moto (...). Très beau lac presque isolé de tout, un Viêtnam rural, profond, chaleureux. La superbe ville de Hoi An ensuite, ses groupes de Français et son site cham, Hué et les vestiges de la dynastie des Nguyen. Je choisis de visiter la DMZ, l'ancien no man's land et frontière N/S..."
La suite sur http://tanguy.teyssier.over-blog.com/article-27230313.html

LE PEUPLEMENT DES CAMPAGNES EN ASIE ORIENTALE 2/3 : CAMPAGNE DU VIETNAM
Nous sommes dans la région de Dalat, les montagnes du sud et du centre du pays. Le Viêtnam occupe une superficie de 341 690 km2 et compte environ 85 millions d’habitant
s, soit une densité de 253,5 hab./km2.
Le Sud, très fertile, cultive surtout le riz mais aussi le café. Produit de base essentiel, le riz est également un produit d’exportation. Le café est également consommé en grande quantité. Pour ces produits, la récolte se fait manuellement ; le besoin de main d'oeuvre est donc important. Les Viêtnamiens sont de gros consommateurs de café. Il y a différentes façons de le boire dans le pays : le ca phe nong (café noir chaud ou froid), le ca phe noi da (café au lait), le ca phe trung (aux oeufs blancs battus en neige, très sucré) ; dans le sud, les Viêtnamiens y mettent beaucoup de glaçons.

     "Je découvre les jolis alentours de Dalat en moto (...). Très beau lac presque isolé de tout, un Viêtnam rural, profond, chaleureux. La superbe ville de Hoi An ensuite, ses groupes de Français et son site cham, Hué et les vestiges de la dynastie des Nguyen. Je choisis de visiter la DMZ, l'ancien no man's land et frontière N/S..."
La suite sur http://tanguy.teyssier.over-blog.com/article-27230313.html

LE PEUPLEMENT DES CAMPAGNES EN ASIE ORIENTALE 3/3 : CAMPAGNE DU LAOS
Nous sommes dans les montagnes du Nord Ouest d'un pays dont la superficie est de 236 800 km2. Les montagnes et les plateaux occupent plus de 70 % du pays.
Ce pays de 6 667 534 habitants est vide (24hab./km
²) ; 69 % des Laotiens vivent dans les zones rurales et donc, 31% en milieu urbain. Le secteur agricole représente 42 % du PIB et 80% de l'emploi total en 2009. Cependant, les terres cultivables (4%) sont essentiellement consacrées à la riziculture, puis au café, tabac, coton, aux arachides. Ainsi, le café et surtout le riz expliquet que les campagnes soient peuplées. Le Laos fait ainsi parti de la zone de peuplement d'Asie orientale.

     "Il m'aura fallu a peine quelques heures pour tomber amoureux de ce pays. Il y regne une atmosphere incroyablement relax loin du brouhaha du Vietnam et de l'attitude souvent irritable des Viets. Ici, c'est shanty shanty, un bout d'Afrique de l'Ouest en Asie. La capitale Vientiane semble une petite ville de province sans trafic avec ses multiples restos le long du Mekong (...)  "Dernier effort vers le Nord et Muang Sing, ancienne capitale de l'opium. Route du Triangle d'or a quelques kilometres de la Chine et du Myanmar. Julia toujours a la recherche de textile des minorites Hmongs, Akhas, Yao..., moi degustant un bon the lao, nous en amour de ce pays ou regne le calme, le partage, les sourires, le vide, une absence de mendicite, une propagande desuete. Pauvrete relative, bonheur presque absolu."
La suite sur http://tanguy.teyssier.over-blog.com/article-27725816.html

                                                        ------------------------------------------------------------

Extrait de EduSCOL : "Les facteurs naturels : en confrontant différentes cartes du monde (planisphère du peuplement, zones bioclimatiques, reliefs), on identifie les contraintes de conditions naturelles extrêmes comme facteurs limitant l’implantation humaine (le grand froid, la forte aridité, les pentes, la haute altitude par exemple)."

                                   "La notion de « contrainte », évoquée pour la première fois, sera progressivement reprise dans les différentes parties du programme."

                                  "La profonde et ancienne humanisation des campagnes. La capacité des agricultures à nourrir les populations a facilité l’accumulation sur le temps long et le fort accroissement démographique."

 

Désert (Larousse) : zone du globe caractérisée par une pluviosité inférieure à 200mm/an (voire 100) où la densité de population est très faible en raison des conditions du climat (aridité, froid).

Un désert peut être une zone dépourvue de végétation, d'animaux et d'êtres humains. Un désert est ainsi situé hors de l'écoumène.

Éléments de géographie physique, 2002 : les déserts hyperarides reçoivent moins de 50mm/an de précipitations en moyenne ; on les trouve à certains endroits du Sahara, du désert chilo-péruvien, de Libye, d’Arabie, de Namibie.

Selon Monique Mainguet, sont des déserts chauds côtiers le désert chilo-péruvien, d’Atacama, de Namib, Basse-Californie, du sud-ouest marocain. Souvent brumeux, ceux-ci sont créés par des anticyclones, courants froids et remontées d'eau des profondeurs (upwellings).

Le mot désigne en ancien français non pas des étendues stériles et vides de végétation, mais une zone inhabitée et non cultivée par l’Homme.

 

Ecoumène (Larousse) : espace habité de la surface terrestre.

L'écoumène est une notion géographique pour désigner l'ensemble des terres anthropisées (habitées ou exploitées par l'Homme). Le mot peut aussi s'orthographier œcoumène, œcumène, œkoumène ou oïcoumène (Jacques Blamont). Le genre n'a jamais non plus été fixé : il est généralement masculin mais certains auteurs, comme Augustin Berque, l'emploient au féminin pour mieux respecter le genre du mot grec originel.

 

Définition de contrainte naturelle : Une contrainte naturelle est un élément de la nature qui fait obstacle à l'installation de l'homme.

 

Extrait de EduSCOL : "La densité, qui est un indicateur de la répartition de la population, reste une notion délicate à acquérir en sixième car les élèves ne disposent pas encore des acquis mathématiques qui vont s’installer progressivement au collège. On évitera les calculs mathématiques pour privilégier le sens de cet indicateur, c'est-à-dire le rapport entre une population et un territoire, en distinguant la densité du nombre d’habitants."

Pour en savoir plus, http://www.hypergeo.eu/article.php3?id_article=25

Consultation des aides et ressources pour la classe EduSCOL en rapport avec ce chapitre, sur
http://media.eduscol.education.fr/file/college/57/3/College_Ressources_HGEC_6_Geo_OuSontLesHommes_127573.pdf

=> Une BIBLIOGRAPHIE est disponible dans le pdf.

Contact : imagehistoiregeo@gmail.com

 

 

Retour à l'accueil